Le jour qui ne sert à rien

26 août 2006 - 3 juin 2007 : un même combat.

Ces deux jours n'existent pas vraiment pour moi: le premier, je suis parti à 8h du mat' d'Équateur, et je suis arrivé le 27 à 8h du mat' à Paris. Le 2e, c'est encore pire, je suis parti de Hawaii le 2 au soir, et arrivé à Montréal le 4 au matin.

Et c'était bien plus exécrable.

En effet, on a failli rater l'avion à Kona (j'aurais bien aimé...) car on attendait bêtement dans la salle d'attente alors que la porte était ouverte et qu'ils n'attendaient plus que nous dans l'avion (on a eu droit au "dernier appel pour les passagers du vol ...")

Arrivés à Phoenix après 6h de vol, on a changé 2 fois de terminal et décollé avec 3h de retard à cause d'une superposition de problèmes : problème sur l'avion, surréservation et conditions météo de merde à New York. New York qu'on a d'ailleurs survolée 1/2 h avant d'atterrir.

À New York donc, pluie battante, on a à peine eu le temps de prendre le métro de JFK à la station de bus pour prendre le bus de 23h. Et là, le chauffeur avait laissé son sac à dos au premier rang pour que personne ne s'assoie (company regulations), et une connasse a jeté le sac par terre pour s'asseoir. Bien sûr, quand le chauffeur est venu, elle a prétendu que le sac était déjà par terre (alors que touuuut le bus l'avait vue le jeter) et elle ne voulait pas bouger, du coup il a ramené les flics, et elle a fini par bouger mais il ne voulait plus d'elle dans le bus.
Résultat, 3/4 h de retard.

La suite est classique, voyage de nuit chiant, le gars avec la sonnerie de portable au maximum pendant tout le trajet, arrivée à Montréal au matin. Il n'avait pas arrêté de pleuvoir depuis New York, d'ailleurs.

Mais bon, après 10 jours de rêve, il serait indécent de se plaindre (mais je ne m'en prive pas...)

Merci Niok pour ces vacances exceptionnelles !!